Ancien directeur du Salon de Montrouge, spécialiste pour l’art contemporain de la maison de ventes aux enchères Cornette de Saint Cyr, Stéphane Corréard lancera du 7 au 11 décembre la foire GALERISTES au Carreau du Temple, à Paris. Il est soutenu dans cette démarche par le collectionneur Michel Poitevin. Les deux hommes expliquent leur projet.
Roxana Azimi_Pourquoi, en tant que collectionneur, prenez-vous le parti de soutenir une foire alors qu’il y en existe déjà tant ?
Michel Poitevin_Les foires qui existent ne sont pas forcément très satisfaisantes pour les collectionneurs car ils n’y trouvent pas la relation qu’ils peuvent espérer : faire des découvertes qui s’inscrivent dans le temps et nouer une relation de qualité avec les galeristes. J’ai rencontré très tôt dans ma démarche de collectionneur des gens comme Florence Bonnefous, Brice Faucher, Roger Pailhas. Ils m’ont beaucoup aidé à me forger une opinion sur ce que j’aimais. J’aimerais que les jeunes galeries qu’on voit apparaître puissent établir des relations similaires avec leurs collectionneurs, un rapport qui ne soit pas que mercantile ou mondain.
Et vous Stéphane, pourquoi appeler un collectionneur en renfort ?
Stéphane Corréard_Je suis allé chercher Michel car il avait mis en avant l’engagement des collectionneurs comme vertu cardinale. Il a toujours souligné l’importance du galeriste dans sa formation. Il n’y a pas de grande collection sans grand [...]
Michel Poitevin_Les foires qui existent ne sont pas forcément très satisfaisantes pour les collectionneurs car ils n’y trouvent pas la relation qu’ils peuvent espérer : faire des découvertes qui s’inscrivent dans le temps et nouer une relation de qualité avec les galeristes. J’ai rencontré très tôt dans ma démarche de collectionneur des gens comme Florence Bonnefous, Brice Faucher, Roger Pailhas. Ils m’ont beaucoup aidé à me forger une opinion sur ce que j’aimais. J’aimerais que les jeunes galeries qu’on voit apparaître puissent établir des relations similaires avec leurs collectionneurs, un rapport qui ne soit pas que mercantile ou mondain.
Et vous Stéphane, pourquoi appeler un collectionneur en renfort ?
Stéphane Corréard_Je suis allé chercher Michel car il avait mis en avant l’engagement des collectionneurs comme vertu cardinale. Il a toujours souligné l’importance du galeriste dans sa formation. Il n’y a pas de grande collection sans grand [...]
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